L’année dernière, j’étais invitée à une soirée d’anniversaire à une amie dans son pavillon. C’était un samedi soir, et je me faisais toute belle pour l’occasion. Arrivée sur place je retrouvais les copains et les copines pour célébrer l’anniversaire de Magalie. Nous étions une vingtaine, et nous avons passé une excellente soirée. Je fus présentée à Fréderic, un commercial fort charmant qui me regarda souvent au cours de cette soirée, une attirance physique s’installa et nous avons fait connaissance rapidement au cours de la fête. Après le repas, la musique s’installa au fil de la fête, et Fréderic commença à se frotter contre moi en dansant sur de la musique latine, je me laissai faire en souriant et en m’amusant joyeusement. Je me sentais dans une forme éclatante, chantant dansant avec les autres convives. La soirée touchait à sa fin et c’était le temps de se saluer. Il me restait une quinzaine de kilomètres à parcourir en voiture, mais l’itinéraire prévu allait se transformer, lorsque dehors me dirigeant vers mon véhicule Fréderic m’interpella et m’embrassant sur la bouche, me murmura de le suivre. J’avais confiance, car Magalie m’avait dit du plus grand bien de ce charmant jeune homme. Le jour commença à se lever lorsque Fréderic tourna vers le domaine forestier du coin. Je le suivais de prés et après 300 mètres à l’intérieur de la forêt, il coupa son moteur, j’étais un peu nerveuse et pas rassurée, même s'il faisait mi-jour. Une fois à l’extérieur du véhicule, il s’approcha de moi et me lança « enlève ta jupe Élodie, déshabille toi ». Le désir monta en moi, le fait de s’envoyer en l’air en forêt m’excita. J’enlevai ma jupe et ma veste et je me retrouvai en porte-jarretelles jaune en pleine forêt, il me prit par le bras et m’assit sur le capot de sa voiture, il m’embrassa et m’allongea sur le capot. Il écarta ma culotte en dentelle, et me lécha avec douceur, passant sa langue sur mes lèvres avec délicatesse, ses coups de langue étaient délicieux, je mouillai comme une folle, et il était temps qu’il me prenne avec vigueur, il abaissa son pantalon, sa bite était tendue et dure à l’extrême, je la léchai en tournoyant avec ma langue en salivant dessus, je le suçai avec un certain plaisir en le regardant dans ses yeux, j’aspirai son gland, il se mit à gémir, l’éjaculation était proche, je m’allongeai sur la voiture, totalement offerte à lui, il me pénétra doucement, mes pieds sur ses épaules, puis je criai de plaisir, il me lima sans retenue avec des grands coups de bite que j’affectionne particulièrement, ses testicules claquèrent sur mes fesses, il lécha mes seins comme un fou, puis il accéléra et je fus baisée pendant une bonne demi-heure sur ce capot subissant ses coups de reins que j’adorais de plus en plus. Puis il me leva, il abaissa ma culotte, puis il la lécha en me regardant dans les yeux et la jeta sur le capot, il me dirigea vers l’arbre le plus proche, et il me cambra, mes mains sur l’arbre, le soutien-gorge à moitié enlevé il me prit par-derrière « oh oui c’est bon, j’aime te baiser Élodie, j’étais soumise et j’adorais cette situation insolite ». La scène dura un moment, il me baisa fort en levrette, jusqu'à l’épuisement total, sa bite me faisait jouir très fort, j’étais heureuse, puis il se retira brusquement, je me retournai, il enleva son préservatif et il éjacula sur moi, son sperme sur mes seins sur mes cuisses était chaud et épais. Une fois remise de mes émotions, je me rhabillai dans ma voiture, quinze minutes plus tard, j’allais partir lorsque Fréderic m’appela dans sa voiture pour me dire au revoir, et il me demanda de m’asseoir sur lui ce que je fis, sa bite grossit et je sentais bien qu’il me désirait encore, « j’ai encore envie de toi Élodie, donne toi ». J’enlevai à nouveau ma culotte et assise sur lui il me donna à nouveau de grands coups de bite dans la voiture qui bougeait aussi, cette fois-ci il me pinça les fesses, avec une certaine assurance, « tu aimes ma grosse bite mon amour » « oui encore plus vite » je ne voulais plus partir prisonnière de son sexe, il me lima à fond à nouveau variant le rythme, me bouffant les seins sans retenue en salivant dessus, puis il éjacula sur mes belles fesses en hurlant oui. Cette fois-ci c’était terminé, et je rentrai chez moi les yeux illuminés par le plaisir et heureuse d’avoir été satisfaite.