Le plaisir adulte

Salut à tous et à toutes, cette fois je voulais vous raconter une petite histoire qui m’est arrivée il y a quelques mois. Je sortais de chez le coiffeur, et mon portable sonna, c’était mon ex-petit ami qui me demanda de le rejoindre chez une amie commune, je pris ma voiture empruntant  le chemin très court, de quelques kilomètres et arrivai à l’appartement de karine. Je sonnai, et montai l’escalier, puis elle m’ouvrit la porte, je la saluai et rejoint mon compagnon dans le salon, les volets étaient fermés et une certaine obscurité régnait dans la pièce, puis à peine retiré mon manteau, Grégory me banda les yeux d’un ruban noir, j’éclatai de rires et lançai « Mardi gras, c’est passé ». Puis il me prit par la main et me guida vers la longue table basse en bois du salon et me fit mettre à quatre pattes sur cette table, je compris tout de suite que ce jeu avait une connotation sexuelle lorsqu’il demanda à Karine de venir nous rejoindre d’une voix sensuelle. En fait ils étaient de connivence, je savais que Karine me désirait beaucoup, elle en avait parlé à Grégory, ce petit jeu était prévu, et j’étais prise au piège d’un jeu qui m’excitait de minute en minute. Soudain, je sentis des mains caresser mes chevilles et remonter jusqu'à mes cuisses, Karine me caressait avec beaucoup de douceur et me chuchota dans l’oreille « j’ai envie de toi ». Je ne répondis pas, excitée de plus en plus, Karine continua à me caresser et passa ses mains sous ma jupe, puis redescendit le long de mes bas noirs jusqu’aux pieds tout en me caressant et embrassant mes cuisses, pendant que je sentais Grégory assis sur le canapé regardant sans doute la scène se caressant le sexe. Karine continua de prendre soin de moi, tandis que la fermeture de ma jupe descendit, je sentis le désir monter en moi très rapidement. Karine me désirait follement, et décida d’enlever ma jupe, je me levai et Karine retira mon vêtement, puis je me remis à quatre pattes, Karine continua à me caresser et à me lécher les cuisses, je devenais brûlante, lorsqu’elle abaissa ma culotte à mi- cuisses, j’enlevais subitement mon bandeau, puis je retournais ma tête, et j’aperçus, mon amie léchant l’intérieur de ma culotte en salivant dessus, elle me regarda d’un air coquin, puis vint m’embrasser sur la bouche. Grégory, lui se masturbait dans le canapé regardant nos ébats avec attention, puis Karine me retira la culotte et commença à me lécher les fesses en gémissant, d’une fesse à l’autre, elle salivait légèrement dessus en me léchant avec passion et désir, puis ce fut le feu qui monta en moi, lorsqu’elle passa un doigt sur mon anus, elle le lécha et le rentra doucement, tandis que sa langue passa doucement sur mes lèvres, je me mis à mouiller follement , elle me doigta l’anus très fort, pendant que sa langue me fouillait le clito, elle aspira toute ma mouille et me lécha sauvagement subitement. Je me mis à gémir très fort, je jouissais déjà, envahi par le plaisir de mon amie, qui continua sans relâche à fouiller mon clito avec sa langue, j’étais devenue ultra brûlante, je capitulais, et me cambrais, lorsque Grégory se leva et approcha de mon derrière, mon sexe était devenu une rivière, il me pénétra d’un seul coup, tandis que Karine était venue s’agenouiller près de moi m’embrasant avec tendresse et nos langues se rencontrèrent. Grégory faisait des vas et vient en moi d’une manière rythmée, je léchais les seins de Karine, qui dirigeait ma tête dessus, puis Grégory accéléra la cadence, et je criai de plaisir, et au bout d’une vingtaine de minutes, il se retira sans avoir joui , Karine me prit la main, et nous nous allongeâmes sur le sol les cuisses écartées, se rapprochant l’une de l’autre sexe contre sexe en position du ciseau , nos clitos humidifiés, prenant le bassin de l’autre nos sexes se frottèrent, nos vulves se frottèrent également , la cadence augmenta et nous jouissions assez rapidement, effondrées sur le sol, épuisées. Quelques minutes plus tard, Karine partie à la douche, Grégory me pénétra à nouveau sur le canapé en missionnaire, il était drôlement excité et me donna de grands coups de bite que j’affectionne particulièrement, je jouissais à nouveau, et il éjacula  sur mon ventre. 

 

 

Mar 9 oct 2007 1 commentaire
Il faudrait sérieusement penser à écrire français convenablement ( ex: "je me cambra" n'existe pas du tout... si, si ) et s'il n'y avait que ça! Allez, les cocottes, faites un effort, ça ne nuit pas à la santé! Bises
uuuuu - le 11/10/2007 à 04h05