Histoires érotiques

Dimanche 13 janvier 2008 7 13 /01 /Jan /2008 15:48

Le samedi soir, la sortie est obligatoire, Caroline seule, me fixa rendez-vous chez elle à 20 heures pour aller dîner dans un restaurant convivial en centre-ville. J'étais belle pour elle avec un tailleur noir superbe, la panoplie de maquillage pour une soirée très sensuelle. Caroline était superbe comme d’habitude sa belle chevelure brune, sa robe rouge lui donnaient un charme fou. Nous savions qu’après le repas nous allions faire l’amour toute la nuit et cela nous rendaient extrêmement joyeuses et détendues. La soirée fut excellente comme le repas, après un petit café, et une addition convenable, une bouffée d’air frais nous attendait dehors pour une petite marche vers son appartement. Arrivées au pied de la porte de l’appartement de Caroline, je l’embrassai dans le cou tandis que qu’une main se glissa sous ma jupe, il était temps pour nous de s’offrir l’une à l’autre. Une fois dans la chambre fermée le désir nous envahissait, je fis glisser la robe de Caroline doucement en me mettant à genoux l’aidant à s’en débarrasser rapidement, je pus contempler son superbe corps que je désirais follement, ses seins superbes fermes reflétaient dans la lumière tamisée de la pièce, Elle portait un superbe soutien-gorge Lejaby rouge clair en dentelle fine qui lui dessinait une poitrine magnifique, une silhouette fine enveloppée dans un porte-jarretelles rouge clair également avec des petits dessins blancs dessus et des bas noirs. Je la faisais tourner sur elle-même admirant sa croupe à travers sa culotte transparente rouge. Je me relevais et Caroline me déshabilla assez rapidement aussi, mon tailleur se retrouva au pied du fauteuil. Je portais un porte-jarretelles bleu marine d’un string de même coloris qui laissait apparaitre mes fesses fermes que Caroline commença à lécher avec délicatesse donnant de petits coups de langue tout en passant une main sur ma cuisse gauche la caressant de bas en haut. Puis je m’allongeai et Caroline enleva mon string lentement en le faisant descendre le long de mes jambes, puis le déposa à ses lèvres le sentit et lécha l’intérieur puis l’extérieur tout en me regardant avec gourmandise puis se mit à saliver légèrement dessus, elle écarta sa culotte puis frotta mon string mouillé sur son sexe et le jeta par terre  pendant que je la regardais les jambes écartées caressant mon sexe avec mes doigts, la bouche entrouverte, gémissant un peu. Puis Caroline m’embrassa et nos langues se rencontrèrent, des baisers s’échangèrent avant que Caroline prenne possession de mes seins en les malaxant en toute quiétude dégrafant mon soutien-gorge et les léchant comme une affamée, salivant dessus et malaxant mes tétons pendant que je caressais ses cheveux, je mouillais énormément lorsqu’elle descendit léchant mon ventre puis je sentis sa langue sur mes lèvres, elle commença à tourner sur mon clitoris, salivant dessus le léchant, puis l’aspirant, mes cuisses se refermèrent sur son visage, je gémissais d’un coup pendant qu’elle malaxait fortement mon sein droit, je me mis à crier, un doigt dans ma bouche puis le sien que je suçais à fond, Caroline s’attarda longuement sur mon sexe, elle lécha plus vite mon clito sous toutes les formes, j’étais devenue brûlante folle de plaisir, puis elle se déchaina et je me mis à jouir très fort, puis elle se coucha et mon tour de lui bouffer le cul venait à point. Tout d’abord je retirai sa culotte la passa sur mes seins sur ma bouche, je l’embrassai, je la tordis et la frotta sur mon clito tout trempé et la déposa à la bouche de Caroline qui la lécha immédiatement. Puis je caressai ses seins avec douceur léchant le bout de ses tétons avant de les dévorer avec passion pendant un moment, je caressai ses cuisses à travers ses bas nylon, je la voyais fermer les yeux respirant fortement, ses mains sur mes fesses, puis je fouillai son sexe avec ma langue caressant ses seins simultanément, elle se mit à gémir au fur et à mesure que les mouvements de ma langue accélérèrent, j’aspirai entièrement son clito, ainsi que sa mouille, je nettoyai son sexe, la faisant jouir de plaisir, elle s’accrocha aux draps et à mes cheveux. Puis Caroline se leva et alla chercher sa ceinture gode dans l’armoire de la pièce, elle me regarda en souriant et la fixa autour de sa taille et me fit signe de me mettre en levrette. Elle m’embrassa sur la bouche, passa le gode sur ma croupe et me pénétra avec douceur, elle posa ses mains sur les hanches, puis les doigts sur les gaines de mon porte-jarretelles et fit des mouvements de reins en moi que je subissais avec plaisir, Caroline me baisait avec sa ceinture gode, me caressant le dos, je tournais la tête vers elle et son index entra dans ma bouche que je suçais avec plaisir. Puis le rythme et ses coups de reins s’intensifièrent et je criais fort, puis pris la parole « tu aimes ça le gode avec moi hein ! »  « Oh oui encore Caroline, vas-y plus fort ». Le plaisir me rendait folle, ma tête partait dans tous les sens tandis que le bruit du gode claquait sur mon cul, Caroline fessa mon postérieur, puis enleva sa ceinture, j’étais heureuse et satisfaite, je me retournai puis je m’allongeai sur elle, nos jambes se croisèrent et mon clitoris frotta le sien pendant un long moment, sexe contre sexe, nous étions à présent l’une en face de l’autre et nos cris se mélangeaient longtemps jusqu'à l’extrême jouissance, puis pour terminer, je sortis mon gode rose de mon sac que j’enfonçai dans l’anus de Caroline qui jouissait jusqu'à l’épuisement . 

Par Barbara
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Dimanche 9 décembre 2007 7 09 /12 /Déc /2007 12:00

C’était il y a deux mois en février, mon nouveau copain Mathieu qui décida un samedi en fin d’après-midi de m’emmener dans un club privé dans la ville. Je devinais chez lui une envie folle de sexe, lorsqu’il m’annonça cela. Je m’habillais chic pour la sortie et me faisais belle pour l’occasion. Une fois arrivés sur place, une musique festive nous mis à l’aise, le club n’était pas plein, en effet une soirée était organisée à 21 heures, une dizaine de personnes étaient présentes, et autour d’un verre, il commença à me caresser le dos en me disant qu’il avait une envie folle de faire l’amour devant tout le monde ici. Cela m’excita de suite, je me léchais les lèvres d’avance. Puis il m’invita à danser sur la piste un slow, je sentais son sexe durcir et sa langue passa dans mon cou avec une certaine douceur. Il commença à caresser mes cuisses en relevant ma jupe. Je voyais les regards des autres hommes se poser sur moi avec une perversité qui en disait long. Mathieu me dirigea vers un vaste canapé rouge et m’agenouilla devant lui, je compris de suite qu’il désirait une fellation, je déboutonnai son pantalon et l’abaissai jusqu’aux pieds. Son sexe était dur et en extrême érection, ma langue tourna autour de son gland lentement avec précaution et délice, puis je léchai sa verge en le regardant gémir la tête en arrière, j’aspirai sa bite avec envie, le suçant, dévorant son sexe avec ma salive et ma langue qui faisait des va-et-vient, ma bouche totalement offerte à sa queue qui bavait légèrement de sperme. J’aspirai sa bite de plus en plus vite, lorsqu’il me demanda de me lever, j’étais tout excitée de la situation. En levant les yeux, je voyais que deux hommes se branlaient dans le canapé voisin me fixant avec une envie folle. J’enlevai ma robe noire qui glissa le long de mes jambes, je me retrouvais en porte-jarretelles violet clair en dentelle avec des bas crèmes, Mathieu m’allongea sur le canapé et leva mes jambes en écartant ma culotte en dentelle, il passa sa langue sur mes lèvres, puis il me lécha avec plaisir mon clito, il tournoya autour aspirant ma mouille, me déstabilisant complètement , j’étais devenue folle de désir, la bouche ouverte, je gémissais, je voyais sur l’autre canapé les deux hommes devenus fous de désir se branlant avec vigueur. Mathieu me lécha pendant une dizaine de minutes me bouffant le clito longuement, sa langue me fouillait sans relâche. Puis il retira ma culotte, leva mes jambes et me pénétra doucement et vint sur moi m’embrasser, je me mis à gémir fort remplie de plaisir, son sexe faisait des allers-retours en moi doucement, puis le rythme s’accéléra au fur et à mesure, je recevais des grands coups de bite à présent,  il me bouffa les seins tout en me limant comme je l’aimais, il aspira ma langue dans sa bouche, je subissais ses coups de reins, lorsqu’il me retourna sur le canapé, je me retrouvais à quatre pattes en levrette, je sentis ses mains passer sous mes gaines et remonter jusqu'à mes reins lorsqu’il me pénétra d’un coup sec qui me fit hurler brièvement. Mathieu me baisa fort dans cette position pendant un long moment, je criais, je jouissais, tant ses coups de bite me rendaient folle de plaisir, il claqua mes fesses un moment et continua à me prendre ainsi, j’étais possédée par sa grosse bite, heureuse comme tout, puis à la fin il se mit à me culbuter sauvagement pendant deux minutes, c’était super, j’avais le visage enfoui dans le tissu du canapé m’offrant à ses coups de bites violents. Je jouissais comme une folle et j’adorais cela. Puis subitement il se retira et se mit à jouir sur mes fesses, j’étais fatiguée, mais tellement satisfaite, je me rhabillais, les yeux brillants de plaisir me dirigeant avec mon homme au bar sirotant un rafraîchissement. Une demi-heure plus tard, dans les toilettes du club un homme m’adressa la parole, c’était un ami de Mathieu, il me prit par la main et me dirigea vers une toilette à porte fermée, une fois à l’intérieur il enleva son pantalon et son slip et il s’asseyait sur la cuvette rabaissée, j’abaissai ma robe « Mathieu est au courant, j’ai envie de toi » j’écartai ma culotte et m’asseyais sur sa bite longue et dure, il me pénétra et me donna des grands coups de bite sur la cuvette, je hurlais à nouveau ses couilles claquèrent sur le couvercle, je le sentais bien en moi, cela dura vingt minutes, il se retira et jouit à l’intérieur de la capote, je sortis des toilettes retrouvant Mathieu, la soirée s’acheva ailleurs dans un endroit plus paisible.

Par Barbara
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Dimanche 2 décembre 2007 7 02 /12 /Déc /2007 18:59

Bonjour, je m'appelle Élodie et j'ai 22 ans, voici mon histoire... Un soir rentrant du travail, ma voiture tomba en panne dans la région. Ma voiture fumait, l'agence où je travaillais était fermée, et après une réflexion rapide, je décidais d'appeler le numéro d'assistance de la marque de mon véhicule, je donnais ma localisation, et 30 minutes plus tard, un camion de dépannage arriva, le Monsieur d'une trentaine d'années constata la panne et prit ma voiture, je montai avec lui et nous nous dirigions vers le garage, je lui expliquais ce qui m'était arrivé dans la dépanneuse, faut dire que l'homme connaissait son métier et avait l'air d'être pressé, il avait raison, lorsque nous arrivâmes, le garage était fermé, mais je me rendis compte que c'était le patron qui m'avait dépanné, j'étais rassuré car je me trouvais à 15 Km de mon domicile, et une voiture de prêt m'était promise, jusqu'ici tout me paraissait normal. Arrivés au bureau du garage, l'homme s'absenta 5 minutes, et pendant ce temps une forte odeur me troubla, une odeur sensuelle lourde traversa la pièce et me rendit subitement chaude, sans doute une fiole où quelque chose d'autre s'évaporait dans la pièce, l'homme revenant après cette diffusion, je n'étais plus dans un état normal mais lucide tout de même, une espèce de désir montait en moi de plus en plus, ma vision était claire, je fournissais les documents de la voiture, l'homme se leva et alla à la photocopieuse et puis dans mon dos commença à se frotter contre moi, je sentis sa grosse bite contre mes fesses durcir rapidement, "j'ai envie de vous" me lança t-il , puis sous l'emprise du désir je répondis moi aussi, il m'attira en fermant la lumière de son bureau dans une pièce voisine, et me plaça sur un large bureau, j'enlevais mon manteau et écartai ma jupe noire, il m'embrassa avec fougue dans le cou, puis je mordillais son oreille et nos langues se mélangèrent, il se retrouva rapidement nu après avoir enlevé ses vêtements, il avait un énorme sexe très gros et long. Le désir m'étouffait, la folie s'emparait de mon corps, il enleva mon chemisier et dégrafa mon soutien-gorge puis ma jupe tomba net à mes talons, je me retrouvais pratiquement nue en porte- jarretelles blanc et vert en dentelle avec des bas beiges, il écarta ma culotte en dentelle et m'allongea sur le bureau et il commença à me lécher les lèvres de mon sexe avec passion et acharnement, je gémissais de plus en plus fort "oh oui j'aime ça continue" dis-je sous l'emprise du désir. Sa langue tournait dans tous les sens sur mon clitoris, il aspira ma mouille avec vice et continua de me lécher partout, en aspirant mon clito, sa langue me rendait dingue, sa salive se mélangea à ma mouille, puis il me pénétra lentement, je gémissais beaucoup en caressant ses cheveux " j'adore ta chatte" puis après 15 minutes de lèche intense, sa grosse bite approcha de mes lèvres, et il enfila sa capote, puis il me pénétra en léchant mes seins avec délice, il m'enfila avec profondeur, avec rythme, ses mains glissaient sur mes bas, il commença à jouir très fort en criant "tu aimes ma grosse bite" " tu es une petite cochonne toi" oui répondis-je, puis il accéléra le mouvement et je lui appartenais désormais et devenais complètement soumise, ses couilles claquèrent et ses changements de rythme me rendaient dingue, pendant 30 minutes , nous restâmes dans cette position, je jouissais comme une folle, puis il s'arrêta et me retourna sur le bureau, il passa une main sur mes seins, sur mes gaines et me pénétra d'un coup sec par-derrière, ma tête était affalée sur le bureau, pendant qu'il me limait dans un rythme moins soutenu, il me donna une petite claque sur ma fesse droite, puis il accéléra brusquement à me limer à fond, je criais très fort, ses coups de reins me rendaient complètement hystérique "défonce-moi lui dis-je" il le fit aussitôt, me culbutant sauvagement sans répit, il me tira brièvement par les cheveux en défonçant mon cul à fond, puis il s'arrêta net ne pouvant pas aller plus vite, "suce-moi" dit-il, je me retournais le visage épuisé par la baise, et m'agenouillai, il enleva sa capote, son gland gonflé à bloc prêt à exploser, je léchais sa verge de haut en bas puis son gland rapidement et je le suçais sauvagement puis au bout de 5 minutes " je vais jouir" il éjacula sur mes seins, un sperme épais et abondant qui giclait sur ma poitrine, je lèche les derniers filets de sperme sur son gland, heureuse et épanouie, satisfaite, c'est ainsi que je devins très coquine.

Par Barbara
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Dimanche 25 novembre 2007 7 25 /11 /Nov /2007 22:05

La rentrée avait déjà commencé depuis une quinzaine de jours lorsque je recevais un coup de fil de Karine. Elle me proposait de venir vendredi soir chez elle en précisant d’être sexy. J’acceptais avec joie son invitation, en me posant certaines questions. Karine est fiancée à Ludovic depuis longtemps. Pourquoi m’a-t-elle demandé de m’habiller sexy pour vendredi ? La seule réponse est de se rendre dîner chez eux. Vendredi 18h45, je me prépare dans ma salle de bain, j’appuie mon maquillage, j’enfile un string en dentelle vert bouteille, assorti d’un porte-jarretelles de même coloris transparent. J’ajuste mes bas blancs en pensant à cette soirée. Ma robe en soie noire me va à ravir, quelques minutes plus tard je suis sur la route direction Blanquefort. À peine arrivée au pied de l’appartement Karine me reçoit avec un énorme sourire, c’est une superbe blonde aux yeux verts avec une taille de mannequin et un corps de rêve.  Ludovic me fait la bise avec courtoisie  en se chargeant de ma veste. La soirée se déroule dans une certaine convivialité, atmosphère détendue et sourires aux lèvres. Le repas est délicieux  jusqu’au café  très serré qui efface en partie la fatigue de la semaine.  Puis vers 22h30 Karine et Ludovic se lèvent de table et me disent qu’ils vont s’absenter cinq grosses minutes dans la chambre pour une surprise. Je me retrouve seule dans le salon sur le canapé attendant avec impatience cette surprise. Quelques minutes plus tard Ludovic sort de la chambre et éteint la lumière de la pièce avec rapidité, je suis dans le noir et seule une petite lumière tamisée venant de la chambre m’indique qu’il faut se diriger par là. Ludovic m’attend en souriant et s’écarte de l’entrée. Je pénètre dans la pièce totalement surprise et ébahie devant la scène. Karine est à quatre pattes sur le lit, les yeux bandés ,vêtue d’un soutien-gorge, d’un porte-jarretelles et des bas tout en noir. Ludovic me regarde et me lance << cela te plaît. ? >>, Je hoche la tête comme réponse et une main de Ludo fait glisser la longue fermeture de ma robe qui glisse sur le sol subitement. L’instant d’après Ludovic ajuste une superbe ceinture gode autour de ma taille et s’assoit sur le fauteuil en osier en se masturbant le sexe. Je m’avance vers les fesses de Karine en commençant à mouiller énormément, puis je pose délicatement mes lèvres sur sa fesse gauche en la léchant sur toute sa partie, puis je fais de même sur la fesse droite avec soin, puis je pose maintenant mes mains sur ses hanches en la léchant franchement avec vice. Karine commence à gémir légèrement, je dégrafe son soutien-gorge et caresse fermement ses seins superbes et fermes, tandis que  je lèche les lèvres de son sexe avec délicatesse. Karine pousse quelques petits cris de jouissance, ma langue fouille son sexe complètement, mon excitation est grande, je lui bouffe le clitoris follement en tournant la tête dans tous les sens, la scène s’allonge lorsqu'une claque sur ma fesse gauche me fait crier, Ludovic est derrière moi, il abaisse mon string vert en dentelle jusqu’aux genoux et me pénètre d’un coup sec qui me fait hurler. Je continue à lécher Karine qui gémit fort à présent, je salive sur son sexe, rentre ma langue à fond et lui claque le cul tout à coup, elle se tortille, jouit fort, ma langue ne s’arrêtant pas une seconde. Pendant ce temps Ludovic me prend en levrette, et me lime à fond sans retenue, j’adore cela, cochonne comme je suis, soumise subissant avec bonheur l’effet de sa belle bite durcie par mon vagin dégoulinant de mouille. Sa bite claque avec insistance sur mon beau cul, je jouis je hurle, je réclame << Encore... oui … Encore>>  puis Ludovic s’arrête, se retire et me fait signe de prendre Karine avec le gode ceinture fixé toujours autour de ma taille. Je m’exécute et la pénètre avec douceur,  puis le gode rentre entièrement à l’intérieur d’elle, petit à petit j’accélère le mouvement mes mains accrochées à ses hanches, je la baise avec perversion, faisant des vas et vient de plus en plus bruyant, Karine est au septième ciel, elle hurle de plaisir, sa jouissance est extrême, je la culbute profondément et j’aime ça, pendant ce temps Ludovic est tout nu et s’approche du visage de Karine avec son sexe tendu vers sa bouche. Karine sentant l’odeur de sa bite ouvre sa bouche et engloutit le sexe de son partenaire avec gourmandise, elle le suce désormais, léchant son gland, je ralentis mon mouvement de reins, puis je sors mon gode de son sexe grand ouvert et trempé, Karine continue de sucer avec superbe le sexe de Ludo, elle s’y attarde avec soin, léchant la verge le gland, les couilles, tournant sa langue sur sa bite et l’enfonçant jusqu’au fond de sa gorge. Ludovic enlève le bandeau qui recouvre les yeux de Karine. Je m’allonge sur le dos en tête du lit les cuisses écartées tandis que Karine s’approche de mon sexe, Ludovic est derrière Karine la pénétrant en levrette avec une grande excitation de la fourrer sans retenue. Je caresse mes seins et Karine a déjà plongé sa langue entre mes cuisses me bouffant le sexe, je jouis fort jusqu’à l’orgasme total, Karine m’aspire mon minou, sa lèche est somptueuse, je suis brûlante, voyant Karine se faire défoncer le cul par Ludovic devant moi, cela dure une éternité, Karine continue de me faire jouir avec sa langue, léchant l’intérieur de mes cuisses, mes bas, Ludovic est en sueur, ses coups de boutoir sont beaux, rapides et puissants, le cul de Karine explose sous les claquements des vas et viens de son homme. Puis Ludovic se retire, pousse gentiment sa compagne sur le dos à côté de moi et s’approche d’elle et éjacule sur ses seins d’un énorme flot de sperme qui coule sur le ventre de sa belle, il égoutte sa  bite sur mes seins et se retire allant vers la salle de bain. Karine et moi nous nous retrouvons seules sur le lit, en s’embrassant avec passion, nos langues se mélangent, puis nos corps s’enlacent, nos sexes se frottent en position du ciseau, nous jouissons, nous gémissons à nouveau très fort, Karine et moi accélérons, nos minous se frottent de plus en plus vite, je suis sur Karine faisant des vas et viens avec mon minou et nous explosons dans un énorme orgasme mêlé de cris de jouissance. Nous sommes épuisées toutes les deux les yeux brûlés par le plaisir. Ludovic refait son apparition avec sourire. Il se fait tard et le sommeil nous attend.

Par Barbara
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Dimanche 18 novembre 2007 7 18 /11 /Nov /2007 13:53

Les fêtes de fin d’année sont des belles occasions pour se réunir et partager de bons moments. Ainsi dans cette période festive, mon amie Karine me proposait de l’accompagner pour une journée consacrée au shopping. Son compagnon absent pour raison professionnelle dans l’Ouest de la France, Karine me téléphona le samedi matin. Rendez-vous chez elle pour une après-midi bien chargée. Je savais très bien que nous allions faire l’amour toute la nuit et cela nous excitait d’avance. Arrivée chez elle Karine me fit la bise avec joie, se retrouver entre copines et papoter toute la journée nous rendait enthousiasmes, puis un trajet court en voiture nous propulsa en centre-ville rapidement, en attendant les vitrines animées. Quelques heures plus tard, la nuit était tombée et nos achats presque terminés, il nous restait la boutique de lingerie chic à faire avant de partir diner dans un restaurant sympa. Une fois dans le magasin Karine demanda une culotte en dentelle noire à la vendeuse. La dernière affaire était pliée, il était 19h00 et nous allions nous restaurer un peu plus loin, déguster un bon repas, au cours duquel Karine caressa ma jambe avec le bout de ses talons sous la table. Je lui souriais poliment finissant une tarte aux fraises délicieuse. Quelques instants plus tard, dans son appartement Karine se retrouva prés de moi sur le canapé en cuir blanc regardant une émission divertissante, sa main gauche sur mes cuisses remonta jusqu'à mes hanches en levant légèrement ma jupe laissant apparaitre mon porte- jarretelles rouge clair. Elle m’embrassa sur la joue puis sur la bouche, un baiser doux, tendre et chaud. La télé s’éteignit et Karine se retrouva à genoux devant moi ouvrant mes cuisses tandis que je descendis ma jupe jusqu'à mes chaussures et elle avança sa tête  jusqu’à mon sexe écartant ma culotte rouge, je sentis sa langue mouillée sur mon sexe faisant des mouvements de haut en bas puis pousser ensuite de petits gémissements, Karine me léchait avec douceur, sa bouche experte m’aspirait mon clito qui était en feu, sa langue jouait avec mon sexe, le parcourant dans tous les sens, je mouillais abondamment, je jouissais de plus en plus fort, mes jambes se levèrent et se posèrent sur ses épaules, puis elle enfouit son visage entre mes cuisses me faisant soulever mon ventre de plaisir, Karine devenait folle, agitant sa tête de chaque côté, me léchant sans retenue aspirant mon nectar, j’étais folle de plaisir, lui demandant de continuer les  << encore oui...>> se succédèrent dans la nuit. Quelques instants plus tard l’orgasme venait, puis un second et un troisième qui  transforma mon visage rougi de bonheur procuré par Karine, une lécheuse de minous superbe. Ma partenaire se leva, faisant glisser sa robe noire le long de ses jambes. La belle portait un magnifique porte-jarretelles jaune transparent avec des bas blancs. Elle écarta ses cuisses, je lui fis descendre sa culotte, la poussa sur le canapé, se cambrant dessus elle m’offrit par-derrière son superbe cul, je la léchai de suite avec ma langue profondément dans son anus, puis son clito, j’alternai les deux orifices avec ma langue, Karine jouissait immédiatement sous les assauts répétés de ma langue gourmande qui n’attendait que ça. La scène se prolongea pendant un moment jusqu'à que Karine crie fort son plaisir qui dévastait son corps. Karine s’absenta une minute et je la vis revenir avec un énorme gode vibrant dans les mains. Cinq minutes plus tard je hurlais de tout mon corps, l’engin dans mon sexe enfoncé totalement qui vibrait et me faisait jouir de façon continue, Karine me l’enfonçait à fond puis le retirait. J’adorais j’en voulais plus, que ça ne s’arrête pas. Ce fut trop bon, puis ce fut à mon tour d’en faire de même auprès du cul de Karine qui était complètement trempée. La nuit avançait et bien plus tard, nous étions satisfaites ensemble après de multiples orgasmes et le sommeil nous emportait vers un autre jour.

 

Par Barbara
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