Histoires érotiques

Mercredi 27 mai 2020 3 27 /05 /Mai /2020 05:15

En ce merveilleux week-end ensoleillé, Paul m'appela pour me fixer un rendez-vous vers 19 heures. Le dress code me laisse quelques options. Ce sera chemisier blanc, jupe courte rose et blanche, bas noirs, porte-jarretelles en dentelle blanc transparent aubade et culotte blanche en dentelle également. Un maquillage soigné et une coiffure impeccable. Je chausse mes escarpins et descend de mon immeuble avec joie. Je prends un taxi et me retrouve 30 minutes plus tard chez lui. Il m'accueille avec plaisir et bande déjà à travers son pantalon. Nous arrivons au salon et la table est longue et massive. Je pose mes mains sur la table, écarte les cuisses et je deviens subitement sa salope, sa chienne et sa pute. Il relève ma jupe descend lentement ma petite culotte et me bouffe ma chatte avec gourmandise. Je rougis et gémit de plaisir. Il me lèche avec délicatesse et boit mon nectar. Il me donne une petite fessée que j'apprécie toujours. C'est l'heure de la pénétration. Elle sera douce et tellement jouissive au début. C'est l'heure de la délivrance. Il me baise sur la table en levrette et j'adore cela. Je crie de plaisir et réclame son sexe encore et encore. Ludivine, tu es ma salope pour l'éternité ! Je suis heureuse et encaisse ses coups de bite. J'en veux toujours plus, ses mains sur mes hanches qui glissent à travers mes jarretelles et viennent me claquer le cul. Je suis au paradis de l'orgasme. Il me défonce maintenant toujours dans cette même position. Il adore mon cul. Il me le dit toujours. Nous sommes maintenant dans le canapé et je m'assois sur sa grosse bite dans la position du cheval. Il me laboure comme une pute. Je n'arrête pas de jouir. Ses mains caressent mes cheveux et mes épaules. C'est le moment de le sucer avec un grand sourire. J'aspire son gros gland et lèche sa verge en le regardant dans les yeux. Je suis sa soumise. Je lèche ses couilles et remonte jusqu'au gland. Je caresse mes joues et me lèvres avec. J'aime beaucoup la fellation. Je suce et resuce. Je ne fais que cela pendant quinze minutes. Il est heureux et satisfait. C'est l'heure de me faire prendre en missionnaire. J'aime beaucoup ses coups de rein. Je sens le poids de son corps et j'écarte les cuisses à fond. Il me donne du plaisir. Je suis insatiable. Il me prend allongée sur le côté et me besogne sans modération. C'est vraiment trop bon. J'en prends plein le minou. C'est délicieux. Notre partie de sexe se termine par une éjaculation faciale très abondante. Je suis ravie et lui aussi. Je suis satisfaite et le quitte avant minuit pour d'autres aventures nocturnes.

Par Atlantique
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Lundi 27 avril 2020 1 27 /04 /Avr /2020 05:51

Joyeuse Saint-Valentin...Maël se fige à l'entrée de la chambre, plus qu'agréablement surpris. Clara l'avait hâté de revenir de ses courses et il comprend pourquoi, enfin. La divine brunette est allongée sur le lit, son adorable moue boudeuse éclairée d'un sourire. Elle n'était pas à court d'idées ! Elle s'est paré d'un ensemble de lingerie qu'il ne connaît pas, rouge sang, où le string est surmonté d'un ruban assorti, d'un porte-jarretelle en dentelle et des bas nylons noirs attirant aussitôt l’œil sur son fessier rebondi. Le jeune homme fait un pas dans la pièce, incapable de lâcher du regard son amante, une érection bien visible déformant l'avant de son pantalon. L'esprit romantique, lui était allé acheter un bouquet de roses passionnées, écarlates. Peu naïf, il a également prévu de quoi occuper cette journée, placée sous le signe de l'amour et de la passion. Dans le petit sachet rose accroché à son poignet, une huile de massage aussi délectable sur la peau que sous la langue et un terrible jouet, à faire vibrer sa compagne.« Alors, tu vas rester figé là encore longtemps ? » Avec grâce, langoureusement, Clara quitte le lit et s'approche lentement de son compagnon, dont le sourire un peu niais reste figé sur son visage. Elle est délicieuse... une véritable sucrerie qu'il dévorera dès qu'elle relâchera sa garde. Clara lui prend des mains le bouquet de roses, inspire le parfum entêtant qui s'en dégage...« Merci... elles me plaisent beaucoup. » Mais pas assez pour lui faire perdre de vue le but premier de l'échange. Adieu petites roses, cruellement mises de côté pour laisser place à quelque chose de nettement plus intéressant. Clara fouille dans le sachet alors que son compagnon commence à l'enlacer, ses mains posées sur ses hanches puis flattant son superbe postérieur, généreusement mis en valeur.« De l'huile de massage ? » La jeune femme glisse sa langue sur ses lèvres rouge sang. Voilà une excellente façon de se mettre en appétit. Elle attire Maël vers le lit et le pousse à s'asseoir, à s'installer un peu plus confortablement. Lui sent ses jambes céder sous la poigne de son amante, tombant faiblement sous son pouvoir. Pauvre homme... c'est désormais si simple d'ouvrir son pantalon, de relever son tee-shirt pour y embrasser son abdomen bien dessiné. Son pénis se dresse fièrement, suppliant un peu d'attention de la part de Clara. Celle-ci y dépose quelques simples baisers, son souffle chaud et taquin glissant sur le membre viril. Maël frémit, les dents serrées. Il lui semble que sa compagne prend un temps terrible pour couvrir ses mains de l'huile de massage, l'observant parfois de ses beaux yeux sombres et cruels. Avec cette même douceur, cette patience frustrante, elle fini par apposer ses mains bien chaudes contre son pénis, débutant un jeu terriblement sensuel. Du doigté, elle en a, tant pour elle que pour lui. Et bon sang, avoir cette femme superbe à ses pieds, qui use de son savoir pour le faire tenir dans l'excitation sans pour autant lui offrir la libération... n'importe qui deviendrait fou.« Clara... s'il te plaît... » S'il te plaît quoi ? La jeune femme hausse un sourcil amusé. Le pauvre... l'huile sent particulièrement bon, le contact chaud est agréable. Mais c'est loin d'être suffisant pour satisfaire pleinement un homme affamé. Généreuse, Clara accepte de changer de stratégie pour lui plaire un peu plus... mais sans promettre de lui donner ce qu'il veut ! D'un geste, elle retire son soutien-gorge, exposant sa poitrine magnifique avec son regard. Puis, taquine, saisit son membre viril entre le moelleux de ses seins. Rapidement, sa chair se couvre d'huile, la lubrifiant parfaitement pour rendre la branlette d'autant plus agréable. Maël se met rapidement à gémir, son pénis vibrant de toutes ses attentions. Alors quand elle y ajoute la langue, autant dire que la perte de contrôle est proche, très proche... Ses lèvres douces se referment sur son gland, sa langue taquine les zones les plus sensibles. Rapidement, le jeu s'accélère, d'autant plus cruel pour le pauvre homme qui, devant le spectacle, peine à garder le contrôle de lui-même. Cela tombe bien, elle ne compte pas le lui laisser. Quelques mouvements, encore et il se libère encore, couvrant ses seins et son visage de sa semence. Clara ouvre la bouche, langue tendue pour récupérer l'offrande... et se relève, plus que fière, victorieuse de cette première manche...« Viens ici, espèce de diablesse... ! » Un couinement et la jeune femme fuit ventre à terre, gloussant comme une écolière. Son compagnon a récupéré le second présent de la journée et compte bien faire payer sa diabolique amante avec ce ticket qui l'enverra tout droit en enfer. Elle ne file pas loin la pauvrette, rattrapée dans le salon où elle est déculottée, allongée le ventre contre les cuisses de Maël. Prête à recevoir la fessée, en somme... et c'est ce qu'il se charge de faire, marquant la chair hâlée de marques rouges, punitives. Une fois Clara suffisamment châtiée, le jeune homme active le jouet, surmonté d'une tête tournante, un petit objet de torture qu'il applique contre son entrée. Une véritable machine à orgasmes, d'autant plus qu'il sait son amante particulièrement réceptive à ce genre de torture. Le jouet appliqué, elle se met à hurler, battant des jambes pour échapper à la violente vague de plaisir qui la secoue toute entière. Fermement retenue pourtant, elle se voit obligée de subir les coups infligés, un délice pour les yeux de Maël qui admire son cul bien marqué, une érection naissant à nouveau de ce simple, mais délicieux spectacle. Il n'en faut pas plus à la jeune femme pour jouir violemment, inondant les cuisses de son compagnon de ses plaisirs. Épuisée, l’œil vitreux et le corps encore tremblant, elle supplie du regard pour une petite pause, juste de quoi reprendre ses esprits avant de reprendre les festivités. Après tout, la journée est loin d'être terminée.

Par Atlantique
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Lundi 28 juillet 2008 1 28 /07 /Juil /2008 21:44

Samedi 23H00, night-club du centre-ville de Bordeaux Katia et moi entrons dans la discothèque branchée en vogue. La piste est vaste et l’ambiance électrique, le son est somptueux et nous percute les tympans. Après avoir dansé une bonne heure, direction le bar pour aller siroter une conso bien fraiche. Puis un jeune homme d’une allure élégante et séduisant s’avança vers nous et me murmura de venir danser avec lui. Je le suivais sur la piste et dans ses yeux je voyais le feu et l’envie folle de me sauter très vite. Il se colla contre moi et je sentis son sexe durcir, il se frotta de nouveau et je voyais Katia sourire. Puis quelques instants plus tard je me retrouvais en porte- jarretelles contre le capot de son 4X4 la culotte abaissée me faisant culbuter sauvagement et criant de plaisir tandis que Katia regardait le spectacle côté passager, Daniel mon étalon de la soirée avait une grosse bite et il savait s’en servir parfaitement me donnant de grands coups de queue en levrette sans s’arrêter. Puis Katia descendit et dégrafa sa robe noire faisant apparaitre son magnifique ensemble rose foncé en dentelle transparente et ses bas noirs. Ce fut son tour d’être baisée sur le capot sans retenue. Nous étions aux anges et tour à tour nous échangions Daniel jusqu’à l’orgasme total. Une longue fellation de notre part le fit jouir sur la portière droite du véhicule. Comblées et satisfaites Katia et moi nous décidions de rentrer chez moi et de prendre une douche avant de se changer et de faire l’amour à nouveau. Elle portait un porte-jarretelles rose Lejaby avec un string rose en dentelle et des bas noirs, tandis que j’avais mis une guêpière noire et blanche et des bas blancs et une culotte noire. Katia me caressa les seins et déposa une main dans ma culotte et me renversa sur le lit. J’écartais les cuisses et ma culotte descendit le long de mes jambes et Katia plongea son visage sur mon minou et commença à le lécher doucement, sa langue chaude et humide me donna le vertige lorsque celle-ci s’enfonça dans mon sexe. Je gémissais posant mes mains sur ses cheveux, les caressant avec délicatesse. Katia salivait et me léchait mes seins. Ce fut bon et j’en redemandais encore. Je me mis à 4 pattes et Katia enfila ma ceinture gode et me donna du plaisir pendant de longues minutes me disant que j’étais sa petite salope et que j’adorais être baisée comme cela. Puis ce fut à mon tour de la lécher comme une folle, son minou fut dévoré et elle se posa sur moi avant que je la prenne bien à fond lui claquant les fesses et l’insultant de petite pute, nous étions de belles cochonnes nymphomanes s’offrant l’une à l’autre pendant des heures dans toutes les positions attendant les orgasmes s’enchaîner et finissant sexe contre sexe sur la moquette couverte de salive et de mouille et trempées. Une nuit superbe qui en redemandait tant d’autres.

 

Par Barbara
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Vendredi 23 mai 2008 5 23 /05 /Mai /2008 12:15

Samedi dernier c’était shopping en centre-ville, plein soleil sur la ville, ainsi je me rendais par ce bel après-midi de printemps chez Lise Charmel une boutique de lingerie détenue par un jeune couple sympa Mélanie et Antoine. C’était pour moi l’occasion de discuter de tout et de rien et d’acheter un magnifique ensemble bleu ciel vu en vitrine. Bien sûr une tasse de café m’attendait dans l’arrière-boutique ce qui me donnait le sourire. Antoine me conseilla rapidement sur la taille et l’affaire était dans le sac. Peu après autour d’une tasse de café avec Mélanie, la discussion nous amena à parler sexe et de leur sexualité personnelle. Ainsi je savais que leur couple était au beau fixe, épanoui totalement, mais j’appris qu’Antoine me désirait terriblement fort par Mélanie. Cela ne me gêna pas du tout venant d’un couple très libéré et j’avais envie aussi de me faire baiser sauvagement par Antoine qui est un magnifique mâle séduisant et terriblement excitant. Mélanie m’incita à me déshabiller et à aller le voir en petite tenue dans le magasin. Je me retrouvais en soutien-gorge violet, string de même couleur que le porte-jarretelles, bas noirs et talons hauts à l’entrée du magasin. Antoine m’aperçut et me fixa longuement avant de baisser le store du magasin et de fermer la porte, il était 16h30 et je tournai la langue sur mes lèvres en le regardant enlever son pantalon et sa chemise puis je mis ma main dans ma culotte fouillant mon sexe sous les yeux de Mélanie qui brûlait d’excitation aussi. Je m’agenouillai et sortis son gros sexe du caleçon en le léchant doucement le long de la verge. Je vis dans ses yeux un feu intense qui brûlait, ma langue parcourait son gland avec précision et plaisir, je léchai les contours de son sexe en regardant sa femme qui avait enlevait sa robe crème et qui se masturbait devant nous gémissant avec douceur. Je glissai son sexe dans ma bouche et salivai dessus puis, une longue fellation commença, je le suçai avec gourmandise le regardant dans les yeux avec une grande délicatesse son sexe rentrait entier puis ressortait de ma bouche, je gloussais, lui gémissait, puis ma bouche s’activa le suçant plus vite et le léchant autour de son gland, puis dessus tournoyant ma langue avec appétit puis les allers-retours dans ma bouche s’arrêtèrent. Mélanie portait une magnifique guêpière noire assortie d’un string rouge et noir, elle se frottait le sexe avec une culotte en soie devant nous assise sur le meuble de la caisse. Je me levai et Antoine me prit et me coucha sur le dos juste à côté d’elle. Il me leva les jambes et me pénétra d’un coup sec et enfonça sa grosse bite en moi qui me fit gémir de suite. Mélanie alors lui lança << baise cette salope à fond >> et il commença à me limer comme j’adorais. Son sexe me fouilla en profondeur et sa bite devint plus dure lorsqu’il accéléra le rythme me faisant crier de plaisir. Il me baisait sans retenue bien à fond, sa bite claquait sur mes fesses tandis que Mélanie me pinçait les seins en les léchant, je jouissais subissant les perversions sexuelles d’Antoine qui me parlait d’une façon crue. Après un long moment je me levais et offrant mon superbe cul à lui, Mélanie me claqua les fesses et commença à me lécher le clito. Humm j’adorais cela me faire lécher, elle s’y prenait bien et Antoine me pénétra subitement s’accrochant à mes hanches les doigts sur les gaines de mon porte-jarretelles et me baisa en levrette sans retenue, il me défonça le sexe comme je l’aime devant sa petite salope de femme qui l’encourageait à aller plus vite, il me claqua le cul puis rentra sa bite dans le cul de sa femme la sodomisant avec attention, je regardais le spectacle, satisfaite et brûlante de plaisir, Mélanie cria de plaisir à chaque coup de rein alternant sexe et anus, puis elle s’avachit complètement sur la caisse et au bout d’un moment il se retira et mis son sexe entre mes seins le faisant aller et revenir son visage plein de vices et au bout de quelques minutes il éjacula à grands flots, son sperme dégoulinait sur ma poitrine, Mélanie m’embrassa longuement, nos langues se mêlèrent puis Antoine disparu dans l’arrière-boutique pendant que Mélanie et moi jambes écartées nous frottèrent nos sexes trempés et le visage rongé par le plaisir jusqu’à l’orgasme final d’une après-midi magistrale.

Par Barbara
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Vendredi 18 avril 2008 5 18 /04 /Avr /2008 15:30

Fin d’après-midi en ce beau vendredi de printemps, je décide de rentrer chez moi prendre un bain et me restaurer un peu pour aborder la soirée qui s’annonce. 19H00 déjà et Claire sonne à ma porte, je lui ouvre gentiment et l’invite à s’installer dans le sofa blanc du salon. Me voilà prête et je lui offre une boisson fraiche en discutant de choses et d’autres. Claire est habillée d’une jupe noire et d’une chemise blanche à rayures noires et des talons hauts. Elle est ravissante et somptueuse dans son maquillage, j’enfile mon manteau et nous sortons de l’appartement direction  la résidence fleurie à quelques kilomètres d’ici. Un peu plus tard José et Lisa nous reçoivent pour un dîner convivial de quelques personnes, une soirée musicale branchée qui vient nous distraire un peu. Le repas est succulent et nous sommes dans une atmosphère feutrée et apaisante. Vers 23 heures, Claire et moi décidons d’aller se promener dans le vaste jardin prendre l’air. Arrivées à la hauteur de la grange José nous interpellent  << je vais vous faire visiter l’écurie >> et nous voilà marchant dans la paille parcourant le bâtiment dans une légère obscurité et s’arrêtant au fond, José nous expliqua le fonctionnement et la vie des animaux lorsque sa main droite caressa mes fesses et la gauche celle de Claire. Nous avons compris qu’il nous désirait toutes les deux pendant que sa femme Lisa discutait avec d’autres convives à l’intérieur. Claire s’agenouilla sur la paille et commença à baisser le pantalon de José et sortir son gros sexe du caleçon pendant que je glissais la fermeture de ma robe rouge et me retrouvais en porte-jarretelles marron clair avec des bas noirs. Je passai ma main gauche dans mon string marron et commençai à me branler en les regardant. Claire commençait à lécher affectueusement la bite de José puis le suça avec gourmandise,  la bite entière dans sa bouche, elle gloussa et mon excitation fut immense. La fellation dura un moment. Claire experte avec sa langue lui lécha dans tous les sens son gland, lui titilla le bout plusieurs fois puis le suça de nombreuses fois avant qu’elle se relève lui lançant un grand sourire puis il s’approcha de moi me retourna et baissa mon string jusqu’aux genoux avant de me pénétrer par-derrière en douceur, je m’accrochai à la porte et il commença à me limer en profondeur, sa bite claqua sur mes fesses, je me mis à crier au fur et à mesure qu’il accélérait le mouvement, José me baisait comme je voulais et j’étais ici pour ça. Sa cadence augmentait et j’en prenais plein le cul, il me culbuta sauvagement et j’adorais cela, il me claqua les fesses plusieurs fois tandis que Claire enleva sa jupe et son chemisier, s’allongea dans la paille et José me fit comprendre qu’il fallait la rejoindre et je me mis à quatre pattes et je m’approchai d’elle, elle écarta sa belle culotte rose en dentelle et je commençai à caresser ses bas crèmes et ma langue lécha son minou complètement trempé. José continua à me baiser en levrette s’appuyant sur mes hanches, je le sentais viril et vicieux à la fois, j’étais folle de plaisir et de jouissance je bouffais le cul de mon amie avalant sa mouille la léchant ardemment, son clito était en feu, elle gémissait de plaisir, la scène dura un bon moment avant que Claire décide de chevaucher le sexe de José, elle s’assit dessus et des grands coups de bite se firent entendre dans l’écurie. José était déchainé de baiser deux superbes petites salopes. Claire fut satisfaite rapidement, l’orgasme faisant la différence, il se releva et nous nous fit signe de venir le sucer toutes les deux. Le partage de son sexe dans nos bouches ne dura que quelques minutes, de grands coups de langue nous donnèrent raison, il éjacula abondamment sur nos seins, son sperme dégoulina, nous réajustâmes nos soutiens-gorges trempés, enfilant nos vêtements se dirigeant vers la suite de notre soirée.

Par Barbara
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