Histoires érotiques

Dimanche 11 novembre 2007 7 11 /11 /Nov /2007 13:58

Salut à tous, c’était il y a quelques semaines, je sortais du travail et me dirigeais vers mon domicile en voiture tranquillement  quand subitement un véhicule  me klaxonna sur ma droite, c’était Monsieur Henaut un ami de mes parents, la quarantaine, très charmant, convivial que j’estime beaucoup. Je décidais de me garer pour le saluer et échanger quelques paroles avec lui. Arrivée à sa hauteur non loin du café du centre-ville il m’invita à prendre un rafraichissement que j’acceptai avec courtoisie. Je savais bien que je faisais bander Bernard depuis longtemps, marié, directeur commercial, de bonne famille l’ami Bernard adore le sexe, la manière dont il regarda ma jupe me fit penser qu’il n’attendait que ça, cela m’excitait énormément  de savoir qu’un homme plus âgé que moi de vingt ans me désirait abondamment. Après quelques discussions je proposai à Bernard de venir me donner un coup de main ranger l’annexe de l’appartement de ma sœur en ville. Il téléphona à sa femme qu’il alla rentrer un peu tard. Arrivée chez ma frangine l’affaire était vite résolue du fait que l’ami de ma sœur était déjà passé vers 18 heures. La nuit était tombée et l’apéritif de fin de semaine s’annonça. L’appartement de ma sœur donnait vaste vue sur plusieurs studios en bas. Après quelques biscuits de bon goût, je commençai à allumer un peu Bernard en ramassant un trombone devant lui pour qu’il puisse se rincer les yeux et voir mes sous-vêtements. Puis après avoir fait un petit tour aux toilettes, je m’approchai de lui et commençai à déboutonner ma chemise en le fixant dans les yeux, il se mit à rougir subitement lorsque je fis tomber ma jupe et me retrouva en porte-jarretelles marron et bas crèmes devant lui. J’allais éteindre la lumière  lorsque Bernard se jeta sur moi en me léchant les seins avec folie. « Petite cochonne me dit-il je vais te baiser fort » il me poussa vers la fenêtre et déchira presque ma culotte en me l’enlevant, il caressa mes fesses avec délicatesse en les embrassant et les léchant longuement, puis il sortit sa grosse bite et sa capote et me pénétra d’un coup sec qui me fit gémir de suite. Bernard me lima contre la fenêtre pendant un moment, je sentais ses mains qui malaxaient mes fesses tandis que ses coups de bite me rendaient heureuse au fil  des minutes, je jouissais comme une folle en levrette, « encore, encore, oui comme ça  continue… c’est bon »  Bernard était en sueur et me prit par la main en me couchant sur le canapé il me pénétra de nouveau mais cette fois-ci en missionnaire en léchant mes seins et m’embrassant comme un dingue. Il s’efforça de soutenir le rythme  pendant que je recevais ses coups de reins, j’avoue que c’était un très bon étalon très endurant, puis je venais sur lui et là il me culbuta sans retenue avec une rapidité extrême, je me mis à crier tellement il me défonçait le cul, j’adorais ça, pendant quelques minutes ce fut l’extase complète, mes fesses rebondissaient  sur ses couilles  il me claqua deux fois le cul avec sa main droite, je jouissais complètement, ensuite il mit sa bite entre mes seins et il accéléra le mouvement, sa bite touchait mon cou puis il ramassa ma culotte par terre et jouissait dedans dans un immense cri. Bernard était vidé après une heure de sexe mais heureux de m’avoir satisfaite. Bernard quitta les lieux et après une bonne petite douche, mon portable sonna Amélia et son ami Guillaume m’invitèrent chez eux pour une soirée dite secrète. Arrivée chez eux Guillaume me recevait seul, je m’aperçus qu'Amélia était allongée sur le lit au travers de l’appartement, la porte entrouverte, elle m’attendait, vêtue d’un soutien-gorge balconnet orangé, d’un porte-jarretelles de même coloris et des bas noirs. Je me déshabillai dans la chambre et commençai à me glisser sur le lit et j’écartai la culotte de mon amie et donnai un coup de langue sur son sexe rasé de prés. Guillaume se mit nu et se branla dans le fauteuil avec envie, puis je léchai le clito et les lèvres d’Amelia en tournoyant ma langue et en salivant dessus. La tête d’Amelia partit en arrière tandis que je léchai plus vite son sexe aspirant sa mouille et l’avalant, elle commença à jouir avec des petits cris saccadés. Puis après l’avoir léchée pendant quinze minutes environ, Amélia saisit un fouet dans sa main et m’adressa la parole en me disant fouette-le. J’étais surprise, mais je pris le fouet dans les mains la regarda dans les yeux, Guillaume se mit à quatre pattes, et je commençai à le fouetter sur les fesses. “ Oui maitresse, continuez ainsi “  ce jeu m’excitait beaucoup, Amelia se coucha sur le lit et saisit le sexe de son ami le branla et le lécha  avec douceur  sur le gland puis le suça avec passion. Je jetai  le fouet, enleva ma culotte  et  je me mise assise sur la bouche de Guillaume. « Bouffe-moi le cul » j’étais excitée, Guillaume me lécha le sexe rapidement comme un mort de faim, j’étais folle de plaisir, Amelia m’embrassa et ce fut le moment ou elle prit le sexe très dur de guillaume dans  le cul directement, il la sodomisa d’entrée, je la voyais gémir et hurler dans tous les sens, Amelia adore la sodomie, son partenaire passa ses mains sur ses bas, les filant, puis je m’approchai de ses seins, Amelia était bouillante, Guillaume la pénétra dans le vagin, et la culbuta fort, il l’attrapa par les fesses la cambra et lui défonça le sexe sans retenue pendant un moment, Amelia était rouge de plaisir, ses mains gesticulaient dans tous les sens, je me couchai en face d’elle m’approcha de sa bouche et elle me bouffa le sexe en salivant dessus énormément , ça jouissait dans la chambre, ça criait et tout d’un coup Guillaume éjacula sur les fesses de sa partenaire, un sperme très épais, Amelia continua cependant de me lécher jusqu’à l’orgasme total et final de ma part.      

Par Barbara
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Samedi 3 novembre 2007 6 03 /11 /Nov /2007 13:57

Il y a quelques semaines je rendais visite à mon amie Sophie qui est responsable d’un magasin spécialisé dans la lingerie en centre-ville. Nous avions programmé  de dîner ensemble samedi soir. Je me rendais à son magasin vers la fermeture de l’enseigne. Une fois arrivée sur place, je fus surprise de voir le responsable marketing dans l’arrière-magasin une coupe de champagne à la main, en effet je compris en discutant que les ventes étaient au beau fixe au sujet d’une collection. Après avoir discuté avec Sophie et le responsable, la clôture du magasin arriva, nous nous retrouvions toutes les deux dans la boutique, le rideau fermé avec le reste de la bouteille de champagne que le charmant Monsieur nous avait laissé. J’avoue que les bulles nous avaient un peu éméchées toutes les deux. Sophie était libertine comme moi, adorait les aventures et énormément le sexe. Après avoir diné ensemble au restaurant quelques mètres plus loin, nous retournâmes au magasin échanger nos avis sur quelques pièces de lingerie fine. Je voyais dans les yeux de mon amie le désir monter, cela m’excitait  beaucoup, près de la cabine d’essayage ou je me rendis essayer un porte-jarretelles vert clair en dentelle, je sentais son souffle s’accélérer, puis le rideau ouvert, elle me regarda et tourna sa langue sur ses lèvres, ses yeux se fermèrent à moitié, puis elle se mit à genoux , et elle caressa mes cuisses mon ventre, puis mon sexe qui commença à mouiller rapidement. Je me retrouvai quelques minutes plus tard dans le salon, allongée sur la table les cuisses écartées, ma culotte glissa rapidement et Sophie commença à me lécher le sexe avec un grand désir. Sa langue me fouilla plusieurs fois, je sentais sa salive sur mes lèvres, gémissant de plus en plus fort lorsqu’elle m’aspira mon clito tout entier avalant ma mouille me regardant avec un air très vicieux. Cela dura plusieurs minutes, puis elle partit une minute dans une pièce voisine allant chercher une ceinture gode qu’elle fixa autour de sa taille. Elle me prit par la main et nous allons vers la chambre, excitées toutes les deux sachant que le plaisir allait encore nous rendre heureuses. Je me retrouvais en levrette sur le lit subissant les coups de reins de Sophie avec le gode qui me donnait du plaisir, je criais, gémissais à chaque va et vient en moi, Sophie aimait cela. «  Tu aimes cela mon amour » « oh oui j’adore continue » « encore oui » Elle lécha mon dos, m’embrassa les fesses et nos langues se mélangèrent à nouveau, je salivai sur ses seins les bouffant avec passion. Puis je pris la ceinture gode autour de ma taille, écartant la culotte noire de Sophie glissant mes mains sur ses bas marrons, je la pénétrai d’un coup, puis j’accélérai le mouvement la voyant mettre entre ses dents un bout de drap, elle se mit à jouir dans une voix étranglée rauque « hein ahh oui » je la sentais partir dans tous les sens, sa tête allant de gauche à droite, pendant un bon moment, puis je me retirai lorsqu’elle se mit à jouir subitement complètement trempée, je retirais ma ceinture, puis relevant son cul, elle se cambra et je me mis à lui bouffer le cul sauvagement comme une folle, salivant aspirant son sexe comme une folle, je nettoyai ses lèvres et son clito en quelques minutes, elle cria, puis j’arrêtai, m’écroulant sur le lit un moment, puis Sophie se rhabilla, ramassa ma culotte verte, lécha l’intérieur avec délicatesse et me la donna. Deux minutes après une personne sonna et son petit ami David arriva « ça sent le sexe dans la chambre ». Il avait deviné nos ébats et enleva son pantalon et sa chemise devant nous. Puis il s’adressa à Sophie et ils se retrouvèrent sur le lit, le sexe dans la bouche de Sophie, je prenais la chaise de la pièce, regardant le spectacle qui s’annonçait. Elle le suça rapidement, glapit autour du gland, le léchant de bas en haut, puis elle se prit la bite de David de plein fouet sans retenue, devant moi, il la baisa fort, la culbutant sans relâche pendant dix minutes puis ralentit la cadence, ses couilles faisaient un grand bruit, ses coups de reins étaient puissants, j’étais spectatrice de la scène, une main dans la culotte, j’étais devenue brûlante, tandis que Sophie les yeux fermés subissait la fougue de son petit ami qui lui claqua les fesses plusieurs fois. Les positions se succédèrent et David se mit à jouir sur le ventre de Sophie, un sperme épais coula jusqu’à son sexe, ainsi s’acheva la soirée. 

Par goldcoast
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Lundi 22 octobre 2007 1 22 /10 /Oct /2007 19:48

L’année dernière, j’étais invitée à une soirée d’anniversaire à une amie dans son pavillon. C’était un samedi soir, et je me faisais toute belle pour l’occasion. Arrivée sur place je retrouvais les copains et les copines pour célébrer l’anniversaire de Magalie. Nous étions une vingtaine, et nous avons passé une excellente soirée. Je fus présentée à Fréderic, un commercial fort charmant qui me regarda souvent au cours de cette soirée, une attirance physique s’installa et nous avons fait connaissance rapidement au cours de la fête. Après le repas, la musique s’installa au fil de la fête, et Fréderic commença à se frotter contre moi en dansant sur de la musique latine, je me laissai faire en souriant et en m’amusant joyeusement. Je me sentais dans une forme éclatante, chantant dansant avec les autres convives. La soirée touchait à sa fin et c’était le temps de se saluer. Il me restait une quinzaine de kilomètres à parcourir en voiture, mais l’itinéraire prévu allait se transformer, lorsque dehors me dirigeant vers mon véhicule Fréderic m’interpella et m’embrassant sur la bouche, me murmura de le suivre. J’avais confiance, car Magalie m’avait dit du plus grand bien de ce charmant jeune homme. Le jour commença à se lever lorsque Fréderic tourna vers le domaine forestier du coin. Je le suivais de prés et après 300 mètres à l’intérieur de la forêt, il coupa son moteur, j’étais un peu nerveuse et pas rassurée, même s'il faisait mi-jour. Une fois à l’extérieur du véhicule, il s’approcha de moi et me lança  « enlève ta jupe Élodie, déshabille toi ». Le désir monta  en moi, le fait de s’envoyer en l’air en forêt m’excita. J’enlevai ma jupe et ma veste et je me retrouvai en porte-jarretelles jaune en pleine forêt, il me prit par le bras et m’assit sur le capot de sa voiture, il m’embrassa et m’allongea sur le capot. Il écarta ma culotte en dentelle, et me lécha avec douceur, passant sa langue sur mes lèvres avec délicatesse, ses coups de langue étaient délicieux, je mouillai comme une folle, et il était temps qu’il me prenne avec vigueur, il abaissa son pantalon, sa bite était tendue et dure à l’extrême, je la léchai en tournoyant avec ma langue en salivant dessus, je le suçai avec un certain plaisir en le regardant dans ses yeux, j’aspirai son gland, il se mit à gémir, l’éjaculation était proche, je m’allongeai sur la voiture, totalement offerte à lui, il me pénétra doucement, mes pieds sur ses  épaules, puis je criai de plaisir, il me lima sans retenue avec des grands coups de bite que j’affectionne particulièrement, ses testicules claquèrent sur mes fesses, il lécha mes seins comme un fou, puis il accéléra et je fus baisée pendant une bonne demi-heure sur ce capot subissant ses coups de reins que j’adorais de plus en plus. Puis  il me leva, il abaissa ma culotte, puis il la lécha en me regardant dans les yeux et la jeta sur le capot, il me dirigea vers l’arbre le plus proche, et il me cambra, mes mains sur l’arbre, le soutien-gorge à moitié enlevé il me prit par-derrière « oh oui c’est bon, j’aime te baiser Élodie, j’étais soumise et j’adorais cette situation insolite ». La scène dura un moment, il me baisa fort en levrette, jusqu'à l’épuisement total, sa bite me faisait jouir très fort, j’étais heureuse, puis il se retira brusquement, je me retournai, il enleva son préservatif et il éjacula  sur moi, son sperme sur mes seins sur mes cuisses était chaud et épais. Une fois remise de mes émotions, je me rhabillai dans ma voiture, quinze minutes plus tard, j’allais partir lorsque Fréderic m’appela dans sa voiture pour me dire au revoir, et il me demanda de m’asseoir sur lui ce que je fis, sa bite grossit et je sentais bien qu’il me désirait encore, « j’ai encore envie de toi Élodie, donne toi ». J’enlevai à nouveau ma culotte et assise sur lui il me donna à nouveau de grands coups de bite dans la voiture qui bougeait aussi, cette fois-ci il me pinça les fesses, avec une certaine assurance, « tu aimes ma grosse bite mon amour » « oui encore plus vite » je ne voulais plus partir prisonnière de son sexe, il me lima à fond à nouveau variant le rythme, me bouffant les seins sans retenue en salivant dessus, puis il éjacula sur mes belles fesses en hurlant  oui. Cette fois-ci c’était terminé, et je rentrai chez moi les yeux illuminés par le plaisir et heureuse d’avoir été satisfaite. 

Par goldcoast
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Mercredi 17 octobre 2007 3 17 /10 /Oct /2007 12:41

Le téléphone sonne en ce samedi midi. Je réponds Émilie bien sûr ! J’avais oublié son rendez-vous chez elle ce soir à 18h00. L’après-midi s’annonce rapide. Je sais qu’Émilie prépare un plan cul très chaud, cela m’excite beaucoup. Direction la salle de bain puis le dressing. 17H00 déjà tailleur noir très chic, talons hauts, porte-jarretelles rouge en dentelle et culotte transparente, bas noirs, rouge à lèvres soutenu. Je soigne ma présentation, j’ai envie de séduire de troubler les gens. Arrivée chez mademoiselle il fait déjà chaud, la musique est électrique et Florent me regarde d’un air très vicieux. Faut dire qu’Émilie l’a initié à l’échangisme il y a peu de temps… Caroline est présente avec son mec Charles. Le diner est somptueux ce qui ne m’empêche pas de boire du bon vin et de provoquer Charles avec mes pieds sous la table petit jeu sympathique, la soirée avance, nous sommes bien abimés par l’alcool et Émilie baisse la lumière et la musique et commence à se caresser devant nous sur le canapé en écartant sa jupe nous montrant sa culotte blanche en dentelle transparente, le désir lui brule le corps, Florent se déshabille complètement  et commence à lécher sa compagne dans le cou, la tension  monte d’un cran nous restons spectateurs de la scène, Émilie est pratiquement nue sur le canapé en guêpière noire elle est très excitante, Florent la dévore avec sa langue puis se laisse lécher la bite avec la langue experte de sa petite amie qui remonte avec délicatesse le long de son sexe puis l’enfile dans sa bouche le suçant avec vigueur et envie, sa bite est raide et la langue d’Émilie travaille tout autour de ce gland magnifique, la fellation est experte, elle le suce dans tous les sens sur les côtés, venant et repartant, le gland est chaud prêt à l’emploi, ses couilles sont léchées avec soin puis, cette fois je ne tiens plus j’enlève mon tailleur et me retrouve en porte-jarretelles regardant le mec de Caroline un doigt dans la bouche pendant qu'Émilie est en levrette et que son mec la fourre sans retenue, il la baise fort et elle crie haut et fort son plaisir dans la pièce, Charles s’approche de moi, me lance un baiser et s’agenouille devant mon sexe il lèche l’intérieur des bas de mes cuisses je mouille déjà fort. Puis il enlève doucement ma culotte rouge et commence à me lécher le sexe avec envie et gourmandise humm c’est trop bon, Caroline s’est déshabillée à coté de nous, notre belle blonde porte un string vert foncé et un porte-jarretelles de même coloris elle se frotte contre mes seins, Émilie subit les assauts de Florent qui la lime et lui claque les fesses dans la même position, elle en prend plein le cul devant moi et Charles continue de me bouffer le sexe dans tous les sens avalant ma mouille, je ne tiens plus je gémis fort et lui dit de continuer, mon clito est en feu dégoulinant de mouille, pendant que Caroline me bouffe les seins elle m’allonge et s’assoit sur mon sexe en écartant son string je lui bouffe son minou à fond c’est l’orgasme total pour moi alors que la partie fine vient de commencer. Émilie est à cheval sur son mec ça jouit fort et Charles s’est arrêté de me lécher mon sexe il me pénètre d’un coup sec et commence à me baiser comme il faut Caroline jouit sur ma bouche et j’adore cela puis elle se dégage et va voir Florent en se caressant le minou devant lui. Charles me lime à fond je le fixe dans les yeux en hurlant de plaisir mes jambes sur ses épaules, ses coups de bite sont sublimes, j’adore cela j’en veux encore tellement c’est trop bon encore viens oui. Puis il me retourne et me défonce le cul quelle extase ses couilles tapent fort sur mes fesses quelle joie la bite d’un homme. Caroline est en missionnaire et se fait prendre par le mec d’Émilie qui semble satisfaite de son compagnon. Florent lui sourit, la cochonne adore cela et elle jouit de plus en plus fort Florent accélère le mouvement la belle ferme les yeux et subit. Charles continue de me baiser fort en levrette il va jouir c’est l’orgasme pour nous deux. Émilie s’approche de nous et branle à fond le sexe de Charles qui éjacule sur ses seins, le sperme chaud dégouline sur sa poitrine. Caroline se fait baiser dans toutes les positions avec un rythme soutenu sous nos yeux, puis Florent lui éjacule sur le visage qui ruisselle de sperme la salope elle adore lécher le sperme. Ainsi s’achève notre partouze royale. 

Par goldcoast
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Mardi 9 octobre 2007 2 09 /10 /Oct /2007 18:50

Salut à tous et à toutes, cette fois je voulais vous raconter une petite histoire qui m’est arrivée il y a quelques mois. Je sortais de chez le coiffeur, et mon portable sonna, c’était mon ex-petit ami qui me demanda de le rejoindre chez une amie commune, je pris ma voiture empruntant  le chemin très court, de quelques kilomètres et arrivai à l’appartement de karine. Je sonnai, et montai l’escalier, puis elle m’ouvrit la porte, je la saluai et rejoint mon compagnon dans le salon, les volets étaient fermés et une certaine obscurité régnait dans la pièce, puis à peine retiré mon manteau, Grégory me banda les yeux d’un ruban noir, j’éclatai de rires et lançai « Mardi gras, c’est passé ». Puis il me prit par la main et me guida vers la longue table basse en bois du salon et me fit mettre à quatre pattes sur cette table, je compris tout de suite que ce jeu avait une connotation sexuelle lorsqu’il demanda à Karine de venir nous rejoindre d’une voix sensuelle. En fait ils étaient de connivence, je savais que Karine me désirait beaucoup, elle en avait parlé à Grégory, ce petit jeu était prévu, et j’étais prise au piège d’un jeu qui m’excitait de minute en minute. Soudain, je sentis des mains caresser mes chevilles et remonter jusqu'à mes cuisses, Karine me caressait avec beaucoup de douceur et me chuchota dans l’oreille « j’ai envie de toi ». Je ne répondis pas, excitée de plus en plus, Karine continua à me caresser et passa ses mains sous ma jupe, puis redescendit le long de mes bas noirs jusqu’aux pieds tout en me caressant et embrassant mes cuisses, pendant que je sentais Grégory assis sur le canapé regardant sans doute la scène se caressant le sexe. Karine continua de prendre soin de moi, tandis que la fermeture de ma jupe descendit, je sentis le désir monter en moi très rapidement. Karine me désirait follement, et décida d’enlever ma jupe, je me levai et Karine retira mon vêtement, puis je me remis à quatre pattes, Karine continua à me caresser et à me lécher les cuisses, je devenais brûlante, lorsqu’elle abaissa ma culotte à mi- cuisses, j’enlevais subitement mon bandeau, puis je retournais ma tête, et j’aperçus, mon amie léchant l’intérieur de ma culotte en salivant dessus, elle me regarda d’un air coquin, puis vint m’embrasser sur la bouche. Grégory, lui se masturbait dans le canapé regardant nos ébats avec attention, puis Karine me retira la culotte et commença à me lécher les fesses en gémissant, d’une fesse à l’autre, elle salivait légèrement dessus en me léchant avec passion et désir, puis ce fut le feu qui monta en moi, lorsqu’elle passa un doigt sur mon anus, elle le lécha et le rentra doucement, tandis que sa langue passa doucement sur mes lèvres, je me mis à mouiller follement , elle me doigta l’anus très fort, pendant que sa langue me fouillait le clito, elle aspira toute ma mouille et me lécha sauvagement subitement. Je me mis à gémir très fort, je jouissais déjà, envahi par le plaisir de mon amie, qui continua sans relâche à fouiller mon clito avec sa langue, j’étais devenue ultra brûlante, je capitulais, et me cambrais, lorsque Grégory se leva et approcha de mon derrière, mon sexe était devenu une rivière, il me pénétra d’un seul coup, tandis que Karine était venue s’agenouiller près de moi m’embrasant avec tendresse et nos langues se rencontrèrent. Grégory faisait des vas et vient en moi d’une manière rythmée, je léchais les seins de Karine, qui dirigeait ma tête dessus, puis Grégory accéléra la cadence, et je criai de plaisir, et au bout d’une vingtaine de minutes, il se retira sans avoir joui , Karine me prit la main, et nous nous allongeâmes sur le sol les cuisses écartées, se rapprochant l’une de l’autre sexe contre sexe en position du ciseau , nos clitos humidifiés, prenant le bassin de l’autre nos sexes se frottèrent, nos vulves se frottèrent également , la cadence augmenta et nous jouissions assez rapidement, effondrées sur le sol, épuisées. Quelques minutes plus tard, Karine partie à la douche, Grégory me pénétra à nouveau sur le canapé en missionnaire, il était drôlement excité et me donna de grands coups de bite que j’affectionne particulièrement, je jouissais à nouveau, et il éjacula  sur mon ventre. 

 

 

Par goldcoast
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